Femmes face à l'extractivisme | Causerie & lancement

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Mai 23, 20195:30 pm
Mai 23, 20197:30 pm
Le Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL) a le plaisir de vous inviter à une soirée de célébration et de reconnaissance des luttes des femmes pour la défense des territoires faisant écho aux voix de femmes diffusées dans l’édition 2018 de la revue Caminando.

Ce sera aussi l’occasion de lancer le tout nouveau site web de la revue, une nouvelle étape dans la vie de Caminando!

Au programme : rencontre avec des autrices ayant contribué au dernier numéro, lecture de poèmes et d’extraits d’articles, écoute de capsules de la série de baladodiffusion “Luttes pour le territoire : Voix de femmes en résistance”.

Entrée libre

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Biographies des autrices présentes :

Annie Lamalice est candidate au doctorat en géographie sur la thématique de la souveraineté alimentaire chez les Inuits du Nunavik. Elle est également membre du Conseil du système alimentaire montréalais, au sein duquel elle défend le droit à l’alimentation pour toutes et tous. Son travail de maîtrise a porté sur le cas de la plus grande mine à ciel ouvert en Argentine, « Bajo la Alumbrera », particulièrement sur les effets d’un tel projet sur les femmes.

Née en 1989 à Bogota en Colombie, Jessica Ramos G. a obtenu un diplôme en sciences sociales à l’Université pédagogique nationale de Colombie et une maîtrise en histoire et philosophie. Elle est militante au sein du Parti communiste colombien. Quelques-uns de ses textes ayant été publiés : la monographie La memoria social y la historia reciente como clave para la reivindicación política de la Unión Patriótica (2013), l’article du même nom dans la revue Páginas de nuestra América (2013) et « No cambiaremos el fusil por una cacerola » (2016) dans le journal Voz la verdad del pueblo.

Marie-Ève Marleau est coordonnatrice du CDHAL depuis 2012. Elle a contribué à des projets de recherche participative qui portent sur les impacts des mégaprojets miniers dans les Amériques et sur l’équité socioécologique au sein des mouvements sociaux en résistance à ces projets au Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté de l’Université du Québec à Montréal. La justice sociale et écologique et la défense des droits humains ont toujours fait partie de ses principales préoccupations et activités militantes.

Joëlle Gauvin-Racine a grandi à Québec, où elle a étudié en anthropologie. Sa trajectoire a été marquée par son implication dans des luttes écologistes et par des séjours au Mexique, où elle a côtoyé des communautés autochtones en résistance dont la dignité et la vision du monde l’ont grandement inspirée. Depuis cinq ans, elle vit et crée sur une terre dans la région de L’Islet. En 2018, elle a été finaliste du prix de poésie Geneviève-Amyot.